F comme Football : Football et Footballeurs d'Épehy
Un ancêtre oublié : la choule
Il semble assez évident que, de tout temps et un peu partout sur terre, on a joué à se disputer entre deux groupes ou équipes, un unique objet auquel on a donné de préférence une forme ronde permettant de mieux s'en saisir.
Et pourtant, nous avons tous totalement oublié qu'il n'y a pas si longtemps se jouait encore, particulièrement en Picardie et en Normandie (Fig.1), un jeu de balle qui semble bien avoir été l'ancêtre du football comme du rugby, voire du hockey, et qui se dénommait "la choule"1 ou encore "la soule"... et on voit mal pourquoi ce jeu n'aurait pas été pratiqué à Épehy aussi bien qu'ailleurs...
La première mention écrite de ce jeu en France date de 1147, et il est aussi évoqué dans "le Roman de Renart" écrit aux XII°-XIII° siècles. Un jeu fort ancien donc, et qui a traversé les siècles.

Fig.1. La Soule en Basse-Normandie, 1852 (Source : Internet).
Il se jouait traditionnellement à la période de Noël, et lors de Pâques, au dimanche des Rameaux, le mardi-gras durant le carême, périodes de fêtes populaires et religieuses... Les parties pouvaient opposer deux villages, deux quartiers, ou bien les hommes célibataires contre les hommes mariés, les habitants s'affrontant pour placer par tous les moyens dans le camp adverse une balle de cuir, la choule, remplie de foin ou de son, ou pour la noyer dans une rivière ou un étang ou un "but" appelé "mare"2. Une variante de ce jeu était pratiquée avec des crosses.
C'était un jeu très populaire au moment de la Renaissance, réputé très viril, avec des blessés et parfois des morts (le rugby est, à côté, un jeu d'école maternelle !), mais qui obéissait pourtant à certaines règles. La soule normande-picarde aurait été introduite en Angleterre lors de l'invasion de Guillaume le Conquérant en 1066 et se jouait également en Italie.
Bien qu'officiellement interdit à cause de sa brutalité, en particulier par le roi Charles V en 1369, le jeu est encore pratiqué au XIX° siècle en Picardie, Normandie et Bretagne, à l'occasion de fêtes patronales, de mariages et du carnaval, et disparaît ensuite au cours du XX° siècle, à de rares exceptions près.
À une centaine de kilomètres d'Épehy, au sud de Montdidier, le village de Tricot (Oise), constitue l'une de ces exceptions.
"C'est une tradition depuis le Moyen Age3.. un jeu au cours duquel s'affrontent les hommes mariés et les célibataires. Sorte de rugby sans règles, «violent mais pas agressif», selon le maire du village, la Choule se joue le lundi de Pâques dans la rue principale de Tricot. Le but : envoyer le choulet, un ballon de cuir en forme de poire, au dessus du toit d'une certaine maison. Pour ce faire, tous les coups ou presque sont permis.Le gagnant remporte le choulet et les honneurs du village. Il gagne également le droit de payer la tournée générale".
Ici, ce jeu peut rassembler une soixantaine de concurrents. Deux photos et leur commentaire, repris du "Courrier Picard" (10 avril 2012), donnent une bonne idée de l'ambiance qui règne alors au village !
Fig.2 & 3. La choule à Tricot, reportage du "Courrier Picard", mardi 10 avril 2012.
Le souvenir d'un tel jeu s'est donc totalement perdu à Épehy (à moins que le présent article ne vienne réveiller les mémoires défaillantes, sait-on jamais ?) et, comme souvent, le football y est devenu, entre les deux guerres et même avant, le principal sport réellement populaire pratiqué par la majorité des jeunes ou des moins jeunes.
Le foot à Épehy
Si, dans ses Mémoires, Gustave Loy ne dit rien de la pratique de la "choule", il fait cependant mention de l'existence à Épehy, avant 1914, d'une "Amicale des Anciens Élèves (de l'école), très dynamique, animatrice de réunions et de loisirs" et également d'une "société de Football"4.
Entre les deux guerres
En fait, les plus anciennes photos d'équipes de football que nous ayons datent des années 1930. Sur la première (Fig.4), en assez mauvais état, seuls quelques joueurs ont pu être identifiés, outre l'animateur de l'équipe, l'instituteur Henri Vasseur (dit "ch'bouc"), ici en costume, que l'on retrouve régulièrement sur les photos de cette époque. On aperçoit également, derrière les joueurs, trois supporters en casquette, non identifiés.

Fig.4. L'équipe de foot d'Épehy. Années 1930 (Coll. C. Saunier).
De gauche à droite :
- en haut : 2° : Lucien Piermant, 3° : Henri Lempereur, 4° :Henri Vasseur (instituteur),
- en bas : deux enfants Piermant, 3° : Tatave (?), 4° : Georget Pernois, 5° : Léon Cocrelle, 6° : Marcel Lempereur.
La photo suivante (Fig.5) est à peu près des mêmes années (Henri Vasseur n'a pas vieilli !), et nous connaissons l'identité des joueurs grâce à M. Maurice Pertriaux que nous remercions vivement. Il s'agit, précise t-il, de la première association de football d'Épehy, la "Fraternelle Sportive Ouvrière d'Épehy" (F.S.O.E.) créée par Henri Vasseur. Son siège était chez Mme Félicie Lempereur (actuellement Café Hibon), et ses joueurs se déplaçaient avec la camionnette de Maurice Félix, marchand de bière associé à Jules Roland5.

Fig.5. L'équipe de foot d'Épehy. Années 1930 (Coll. C. Saunier).
Identités, de gauche à droite :
- en haut : Paul Levert, R. Levert, René Boucher, Henri Vasseur, Paul Audegond, Henri Lempereur
- en bas : André Moiret, Anicet Lefort, Fabien Pernois, Joseph Lempereur.
M Pertriaux précise que "la photo a été prise par notre photographe de l’époque M. Henri Moreaux" qui était aussi meunier6.
Ces photos montrent bien que l'animateur de ces équipes sportives, principalement entre les deux guerres, mais même après la seconde, fut l'instituteur Henri Vasseur que la Fig.6 nous fait découvrir dans son jardin, route d'Heudicourt. On disait qu'il était expert en greffes d'arbres fruitiers, mais il fut surtout, malgré sa surdité, un excellent (et redoutable) instituteur du Cours Élémentaire, et un homme politique passionné et intransigeant qui reconstitua le parti communiste à Épehy après la Seconde Guerre mondiale.
Il a donc trouvé sans difficulté les joueurs de l'équipe d'Épehy parmi ses anciens élèves (ainsi Lempereur, Pernois, Mafille, etc.) tandis que, de son côté, le Directeur d'école M. Sibillotte animait une troupe théâtrale recrutée elle aussi chez d'anciens élèves7.

Fig.6. Henri Vasseur dans son jardin, années 1950 (Coll. C. Saunier).
L'après-guerre
La Figure 7 nous conduit au lendemain de la 2° Guerre mondiale. Le "civil" debout en haut à droite est Raoul Trocmé, industriel6 et maire du village de 1945 à 1949.
Identité des joueurs, de gauche à droite :
Debout : Henri Lempereur, Joseph Lempereur, (X ?) gardien de but, Paul Levert, Gaston Félix, Marcellin Objois,
À genoux : Émile Poirier, Robert Mafille, Raymond Bulan, Raymond Héluin, Jean Lempereur

Fig.7. Onze joueurs avec Raoul Trocmé, vers 1943-1945 (Coll. René Vasseur).
Avec la photo suivante (Fig.8), nous sommes encore juste après la guerre, car elle semble bien dater des mêmes années 1943-1945, bien que les joueurs ne soient plus les mêmes.

Fig.8. Quinze joueurs, vers 1943-1945 (Coll. René Vasseur).
Identité des joueurs, de gauche à droite :
Debout : Jean Lempereur, Endrix Makovska, Émile Piermant, Fernand Piermant, Marcellin Objois, Gérard Piermant, Gaston Félix, Adrien Guyot,
À genoux : André Monier, Roger Cocrelle, Paul Levert, (X?), Louis Vienne, Raymond Héluin, Lucien Rombaud.
La photo des 11 joueurs bien rangés en file indienne (Fig.9) est apparemment un peu plus tardive et semble avoir été prise vers 1946-1947. On reconnaît, derrière la file et avec son béret, Raoul Trocmé qui, après la guerre, avait repris le rôle d'animateur sportif ; en réalité, ces animateurs furent successivement Henri Vasseur, Eugène Loiseau, Raoul Trocmé, Pierre Leconte (dont le nom fut donné au stade), Marcel Léger et Pierre Léger.

Fig. 9. Les onze d'Épehy, vers 1946-1947 (Coll. René Vasseur).
Identité des joueurs, de gauche à droite :
(X?) gardien de but, Raymond Bulan, Gaston Félix, Marcellin Objois, Henri Lempereur, Émile Poirier, Joseph Lempereur, Paul Levert, Raymond Héluin, Jean Lempereur, Robert Mafille.
Les années 1950
Six ou sept ans plus tard, voici une nouvelle équipe (Fig.10) dénommée "Entente Sainte-Émilie – Épehy". Ce fut, apparemment, une équipe à part créée vers 1952-53 avec, comme dirigeant, Jacques Vasseur, constituée de nombreux joueurs d'Épehy travaillant à la sucrerie de Sainte-Émilie.

Fig.10. "Entente Sainte-Émilie – Épehy" : onze joueurs et deux civils, vers 1952-1953 ?
(Coll. René Vasseur).
De gauche à droite :
Debout : Jacques Vasseur en imperméable, Fleureau, André Bulan, (X?), Lucien Rombaud, Gennak, Petit, M. Letuppe (?) en costume,
Accroupis : Guedez, (X?), Poulain, René Vasseur, Jean Mafille.
C'est dans ce cadre que l'on peut placer la photo n°11, peut-être prise au début des années 1960. Nous avons, en effet, changé d'époque, comme en témoigne le blanchiment de la tête d'Henri Vasseur, l'animateur de toujours revenu pour l'occasion, blanchiment en harmonie avec celui de son costume !
Il s'agit cette fois d'une équipe, ou même plutôt de deux équipes de séniors, constituées pour une occasion festive que nous ne connaissons pas, sûrement après la 2° guerre, et ; nous avons la chance de pouvoir identifier la majorité des membres.

Fig.11. Les séniors d'Épehy (Coll. René Vasseur).
Identification, de gauche à droite :
Debout : 1 : Ducouteau, 2 : Zednak, 3 : (?), 4 : Marcel Léger, 5 : Jean Savary, 6 : Julien Héluin, 7 : Serge Roland,
8 : Richard, 9 : Norbert Sallier, 10 : René Lepreux (mi-caché), 11 : Serge Carlier, 12 : René Vasseur, 13 : Claude Boitel, 14 : Roger Brodziak, 15 : Hector Duflot, 16 : Henri Vasseur.
Accroupis : 1 : Henri Lempereur, 2 : Jean Mafille, 3 : Joseph Lempereur, 4 : Raymond Héluin, 5 : Émile Poirier,
6 : Marcelin Objois, 7 : Maurice Vaine, 8 : Robert Mafille, 9 : Roger Mafille,
10 : Jean Lempereur, 11 : André Moiret.
Les années 1960-1970
Les photos d'équipes qui suivent ne sont pas datées de façon certaine. Nous les situons, très hypothétiquement, vers les années 1960-1970. Peut-être des lecteurs seront-ils capables de mieux en préciser les dates ? Elles sont de provenances variées. Certaines ont été prises par des joueurs ou des membres de la Société de Football, d'autres par des dirigeants sportifs ou des amis du club, d'autres encore par des photographes amateurs, ou bien ont été reproduites à partir du calendrier offert en fin d'année contre une petite somme d'argent.

Photo 11 bis . L'équipe au début des années 70. Les noms ont été presque tous trouvés par Monsieur Alain Rayan
Pour les photos suivantes, les noms des joueurs sont souvent inscrits en bas (cliquez sur la photo pour l'agrandir), leur identification ayant été faite par Joël Carlier.

Fig. 12.

Fig.13.

Fig.14.

Fig.15. Jeunes joueurs, vers 1975 ?

Fig.16. Vers 1975 ? Ceux-là ne passeront pas inaperçus...

Fig.17. Vers 1976-1978, dans le brouillard !

Fig . 18. 12 pompiers d'Épehy, juillet 1978.

Fig.19. Juniors 1979.

Fig.20. En 1979... ils vont grandir !
Identification, de gauche à droite :
4° rang : P. Decarnelle, Blériot, Ch. Monchaux, L. Plain, (X?), F. Régnier, Ph. Flament, M. Monchaux, J. Sauvé,
P. Léger, Flament,
3° rang : L. Boitel, B. Bourdon, J-F. Lenfant, A. Pierrin, L. Lobry, G. Flament, E. Pommez,
2° rang : R. Sellié, St. Sauvage, L. Fekkak, L. Levert, O. Oger, Boudjema, A. Guette, D. Fagnon, Ch. Sellié,
1° rang : F. Decarnelle, G. Bernier, Ch. Brouette, D. Henninot, Ch. Bouthemy, D. Hénon, (X?), B. Sauvé.

Fig.21.

Fig. 22. Jeunes joueurs, onze comme il se doit...
Les années 1980
Les deux photos suivantes, en noir et blanc, datent de novembre 1980.

Fig.23. Sur le stade, novembre 1980 (Photo C. Saunier).
Identification, de gauche à droite, par Joël Carlier et Maurice Pertriaux :
Debout : Gérard François, J.Louis Bernier, Pierre Decarnel, Philippe Houzé, Charles Leperchez, Patrick Dureux,
Bernard Bernier, Jacques Oger (Café et billard de la gare),
À genoux : Laurent Lempereur, Denis Sauvé, (X?), Gilbert Bernier, J. Marc Fagnon.

Fig.24. Prêts pour le stade, novembre 1980.
Identification, de gauche à droite , par Joël Carlier et Maurice Pertriaux : :
Debout : Noël Leperchez, Marc Dollet, Bernard Bernier, J. François Ducateau, J. Michel Reigner, André Duflot,
À genoux : J. Marc Prévot, Gérard Dhénin, J. Marie Félix, Joël Leroy, J. Marie Henon.

Fig.25. Vers 1980 ?
La photo qui suit est datée de façon sûre, car probablement extraite du calendrier 1980 des footballeurs comme l'indique l'inscription sur le côté. Malgré cela, on peut aussi supposer qu'elle a été prise 1979... Mais qu'importe !
Rien que des jeunes... on voit que la relève est assurée !

Fig.26. Pas moins de 40 personnes sur 3 rangs, dont 4 adultes.
Identification, de gauche à droite :
3 rang : J. Sauvé, T. Pierrin, Verdière, E. Pommez, B. Bourdon, G. Flament, B. Sauvé, L. Boitel, J. Charpentier,
Ch. Sellié, L. Plain, D. Henninot.
Parmi les dirigeants derrière : Flament, Blériot, J.P. Monchaux.
2° rang : L.Lobry, D. Hénon, R. Sellié, G. Flament, Duroyon, L. Legrand, St. Sauvage, M. Monchaux, L. Fekkak,
L. Brouette, L. Levert.
1° rang : F. Régnier, Ch. Monchaux, J-F. Dromas, O. Oger, F. Tahon, Y. Legrand, O. Moiret, A. Guette, F. Pierron,
D. Fagnon, D. Lemaître, S. Drancourt.
En guise de conclusion (provisoire ?)
Nous nous arrêtons donc en 1980, mais l'histoire du foot à Épehy est bien loin d'être terminée ! Nul doute que beaucoup de nos lecteurs, anciens footballeurs et seulement "aficionados", possèdent dans leurs tiroirs encore bien d'autres photos...
Nous avons évoqué, au début de ce texte, la mémoire d'Henri Vasseur, l'instituteur que l'on peut considérer comme le fondateur du football à Épehy. En ces débuts héroïques, il prêtait d'ailleurs sa pâture pour les entraînements et les matches, près de chez lui au nord de la route de Villers-Guislain. Se fut ensuite Eugène Loiseau (maire de 1937 à 1945) qui prêta la sienne, près du calvaire sur la route d'Heudicourt. Ce dernier a sûrement aussi bien aidé au développement du foot à Épehy, et c'est à ce moment-là que se place l'aménagement du terrain de sports à son emplacement actuel9 .
Lui succédant à la mairie, Raoul Trocmé a aussi bien aidé le foot entre 1945 et 1949, comme bien d'autres activités de la commune10, et certaines de nos photos témoignent de l’intérêt qu'il y portait.
Pierre Leconte (1922-1969) s'est aussi bien occupé du football. Il fut président de l'Association Sportive d'Épehy (ASE) et décéda subitement le 20 octobre 1969 alors qu'il assistait comme spectateur à un match de foot à Davescourt. Dommage que nous n'ayons pas de photo de lui...
L'ASE va ensuite devenir, on l'a vu, l'Entente Épehy-Le Ronssoy, avec un fanion, peut-être sous la présidence de Marcel Léger, ancien déporté de Buchenwald et maire du Ronssoy. Plus tard, son fils Pierre Léger a pris sa succession dans la responsabilité de cette Entente.
Ajoutons, pour être justes, que l'animation d'un club de football suppose, outre des dirigeants, la collaboration de tout un ensemble de bénévoles pour les multiples tâches que suppose son fonctionnement : recrutement, surveillance, transports, entraînement, arbitrages, et tous les services annexes. Les photos nous ont révélé les noms de quelques-uns de ces bénévoles : Joseph Sauvé, Flament, Blériot, J.P. Monchaux, Michel Bray, Pierre Léger, Marcel Léger, Jacques Vasseur, J. Briquet, Bernier, Piéron, Robert Amant, Louis Guette, Serge Carlier, Maurice Richard... et probablement bien d'autres qui nous restent inconnus.
Et pour terminer, un bonus de quelques photos supplémentaires :

Fig.27. Moment de repos, au stade d'Amiens
(Ph. M. Pertriaux)
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Fig.28. Les coupes de vainqueurs (Ph. M. Pertriaux) |

Fig.29. Les espoirs de demain ("Quoi de Neuf", n°87, déc. 2011).
Merci aux donateurs de photos : M.M. Delaire, Léger, Pertriaux, et à tous ceux qui ont identifié les joueurs.
COMMENTAIRE REÇU DE M. MAURICE PERTRIAUX
le 16 juillet 2012

Notes :
1 Du normand "chouler" : se bousculer (Internet : Forum normand : Forum Normandie : sports, jeux et loisirs en Normandie).
2 Encyclopédie Wikipédia : soule (sport).
3 Internet : la choule ou soule à Tricot (Oise) : histoire, description, vidéos...
4 In "Gustave Loy raconte Épehy", 23 p., vers 1980.
5 Voir dans la rubrique Abécédaire>Le Village, l'article "F comme Familles".
6 Voir dans la rubrique Abécédaire>Le Village, l'article "M comme Moulins".
7 Voir à ce propos en particulier les "Instantanés" n°22; "Théâtre" et n°43 : "La morale à l'école".
8 Voir l'article "T comme Tissage" (Abécédaire>Le Village).
9 Voir les informations données par l'"Instantané" n°37, notamment par Francine Delauney.
10 Voir l' article "P comme Pharmacie".